Loin des régnes de toute infamie
Dans laquelle demeure l’agonie
Epuisé chaque jour, chaque instant
Secret des profondeurs de ton cœur.
Cueillant la fleur blancheur éternelle
Souffle léger de l’espace du temps
De son nom une justice sans peur,
L’absolue Vérité qui excelle.
Loin de ces commerces douteux
J’enflamme un être figé
D’une lueur d’automne des cieux
Aimant entendre un sourire
Rassemblant les belles étoiles
Jadis Paradis des oubliés
Prisonniers perdus des soupirs
Esquisse suspendue des toiles.
Loin des rêves froids et obscurs
La douceur devient ombre de soie
Colorant d’un ocre les parois
Révèlant une autre parure.
Parchemin coloré de nos vies
Parchemin gardien de nos écrits
Aurore - 2008
Commenter cet article
Erik 02/10/2008 11:34
AURORE 02/10/2008 14:19
Dông Phong 01/10/2008 14:52
AURORE 02/10/2008 09:59
stellamaris 27/09/2008 23:02
AURORE 28/09/2008 22:31
René Poète 27/09/2008 09:46
AURORE 02/10/2008 09:58