...elles étaient trois....
Après un moment de repos bien mérité, l'une d'entre elles
opta pour un diner rapide "pizza" au bord du lac "miribel".
Tranquillement , elles dégustaient leur apéritif face à cette
étendue d'eau. le silence à cet instant laissa place à la
magie de la tombée du jour. Le ciel doucement se revêtait
de son manteau gris. Le soleil pas préssé de se coucher,
jouait de sa dernière séduction. Le moment était magique...
le lac paraissait endormi..
La musique narguait avec des tempos de souk enchaînés.
Elles ne purent résister, saluérent des convives assis à
leur table et prenant leur précieux sac à main, elles se
laissérent emporter par la "joyeuserie" qui se trouvait ici.
L'une d'elles, la plus plus jeune fût attirée par un jeune homme
quand soudainement , elle se retourna et cria :
"mon sac", "mon sac". L'air éperdu, n'en bougea pas plus.
Prompte les deux autres retournérent à la table
des pas vifs se firent entendre.
Alors elles s'empressèrent de les suivre.
Leurs pas se figèrent à une voiture
ou se réfugiait amoureusement un jeune couple.
La plus vive indiqua une voiture à deux métres,
qui phares allumés commencait à démarrer.
La deuxiéme plus agile, courrut grandes enjambées.
Elle fut arretée nette dans son élan lorsqu'elle reconnu
le petit sac enfoui vers le frein à main.
Nos compères qui fouillaient sans perdre de temps
le portefeuille furent surpris de cette visite inopinée !
et callèrent!!
Le passager ayant laissé sa vitre ouverte
vit les deux femmes pénétrer . L"une y réussi,
elle était pliée en deux retenue par le creux de son estomac
à la barre de la vitre. Elle arracha des mains les documents
y compris le carnet de chèque qui était tombé sur les genoux du voleur.
Elle tira de toute ses forces. le ravisseur en fit de même.
Ce dernier démara la voiture avec notre amie moitié dedans moitié dehors.
Alors elle cria "Djallel; Djallel" (nom du restaurateur) de toutes ses forces
L'autre les mains tendues s'aggripa au rétroviseur,
tant et si bien qu'elle en arracha leur fanion.
Les hommes arrivèrent en une seconde, munis de bâton.
La voiture fit sa marche arrière avec leur victime accrochée.
Quelques coups donnés , notre femme réussit à se retirer,
le sac avec elle ainsi que les documents bien serrés sur son coeur.
Quand à nos deux compères, il voulurent partir à toute pompe,
mais leur élan les conduisit vers une bûche posée à même le sol,
s'en prendre garde des dégâts n'en demandérent pas plus et filèrent
Cette mésaventure valu bien une coupette de champagne!!!
et tout le monde raconta cette histoire à sa manière
AURORE-2007
Commenter cet article
héléna 31/07/2007 10:12
angel 28/07/2007 14:25
AURORE 29/07/2007 04:24
angel 27/07/2007 19:15
AURORE 27/07/2007 22:30
bdu 26/07/2007 16:43
AURORE 26/07/2007 17:19
angel 26/07/2007 08:28
AURORE 26/07/2007 12:17