Ecoute dans le silence de la nuit
La musique, et, sans aucun bruit
Regarde l'étoile filante qui luit
AURORE
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ARTISTE PEINTRE -POÉTESSE- Marsac en Livradois
Ecoute dans le silence de la nuit
La musique, et, sans aucun bruit
Regarde l'étoile filante qui luit
AURORE
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Lorsque tu parais ainsi le sourire aux lèvres
Qu’un langoureux regard se pose sur moi
Chante en ivresse les mots de mon émoi
Que Les grains de ta peau en finesse
Alors ta douce chaleur m’émerveille
Tandis que mon être se tend vers toi
When you seem so smile to the lips
As one languorous look settles on me
Sing the words of my stir in drunkenness
That the grains of your skin in delicacy
Then your soft warmth fills with wonder me
While my being tightens towards you
Désir, désir de pures envolées
Telles sont tes cascades purifiées !
Wish, wish of the pure flights of fancy
Such are your cleaned waterfalls!
Lorsque ton corps assoiffé d’amour
Sans compter se donne à mes baisers
Ta bouche avide prend la fleur au pistil
Alors de mes mots souverains et fébriles
Eclate au plateau de Caussol les jours
Une idylle parfumée et ensoleillée
When your body thirsty for love
Without counting gives your greedy mouth
To my kisses takes the flower in the pistil
Then my sovereign and fevered words
Bursts in the tray of Caussol in daytimes
A sweet-scented idyll and sunny
Désir, désir de pures envolées
Telles sont tes cascades purifiées !
Wish, wish of the pure flights of fancy
Such are your cleaned waterfalls!
AURORE
Promenade au plateau de Caussol
A quelques kilometres de Grasse
De la Terre, fais moi un signe
Ecris ton nom avec le charbon
De ton Cœur, fais moi un signe
Moi qui suis loin à l’abandon
Dis moi les merveilles des oiseaux
Dis-moi la musique des eaux
De la Terre, fais moi un signe
Dans mon cœur en lettre d’or
Ton nom précieux sera mon signe
Inscrit dans mon corps qui dort
Dis-moi les secrets de ta vie
Dis-moi en bas l’Amour infini
Car dans bien de l'haut delà , je te le dis
La course du soleil levant n’est jamais finie
Soyance plus douce que les roses
Brillance écarlate de l’amour
Chantent pour toi tous les jours
L'allégresse Eternelle jamais close.
Aurore
Comment vous dire :
les sentiments de grands chagrins
que l'on ressent devant l'être qui nous quitte.
Comment vous dire :
qu'il y a un lieu où le chemin vers l'Eternel vous ouvre ses portes.
Comment vous dire :
de ne pas en avoir peur, car ici rien n'est crainte tout est Osmose
Si étrange que cela puisse être
l'invitation à ce grand voyage devient douceur.
Comment vous dire.
Aurore -
A toi au ciel ou dans l'ombre de la lumière
A toi le père de mon fils
A toi la mère de mon bien aimé
Quand je plonge mon regard dans le tien
Quand les mots sur tes lèvres se meurent
Quand dans la rosée se lève le matin
Quand le soleil au loin erre sans fin
Alors je sais que tu penses à moi
Quand la goutte d’eau n’est plus que torrent
Quand les traces de mes pas s’éffacent
Quand la pluie n’abreuve plus la campagne
Quand l’écume se déverse sur le sable
Alors tu ne sais pas que je pense à toi
Quand tu vagues dans ton sommeil
Quand dans tes songes l’ombre nait
Quand dans tes bras le vide s’installe
Alors je sais que plus rien ne sera pareil
La Béatitude s’abandonne et se livre au grand amour purif
Revêtue d’une belle robe rose perlée d'or et d’argent, elle brille
Elle inonde de ses flots imperceptiblement l’univers qui pétille
Recouvrant la terre glaise de ses parures les plus exquises
La Béatitude régne sur sa destiné comme la glace sur la banquise
Elle sourit, danse, éclate et fond dans ces airs qui l’entourent
S’offrant les beaux sentiments dans leur absolu vérité tant aimé
Course effrénée en zigzag tel est son parcours qui ne l'use
Aura t elle assez de temps pour conquérir et envelopper Vénus
Dans ce grand mystère qui nous enivre au seuil d’un bonheur
Elle déverse en cascade translucide les parfums du jasmin blanc
A la pointe de son émoi elle cueille les pétales frais et dorés
Fleur à la senteur irrestistible d'un temps de l'osmose abandonnée
Chaleur libérée des rayons allongés somptueusement sur un banc
Elle frissonne sur nos corps l'allégresse en éveil d’un baiser sauveur
Ses caresses sauvages d’un temps éffacent toutes nos faiblesses
Poussières infimes et soulevées de nos plus grandes paresses
Ses rays parsemés sont l’éclaté d’une osmose abandonnée
En son coeur elle garde les désespoirs du monde entier
S'émouvant du cadeau de l'éternité aux amants réunifiés
Sommeillant dans leurs mots d'amour des feux endormis
Béatitude, béatitude chante tous leurs coeurs promis !
AURORE
Sous copyright 2009
Tandis que ta douce plume s'envole et tourbillonne
Bien au dessus de ces flots qui nous questionnent
Alors que L’écume de tes vagues transpercées
Dans tes mots échappés d’un bel amour bercé
Tandis que Psyché donnée en proie à l’inconnu
Tant d’émotions retenues dans ces nuits balancées
D’un jardin de l’Eden à la senteur des bleuets
Fil tendu des caresses extasiées de la paresse
Des déesses célestes des fruits mûrs de l’ivresse
Extase des corps entrelacés livrés et nus
Tandis que sur la couche de l’amant voilé
Nul doute d’entendre en son cœur désespéré
Le chant du tourbillon de l’âme tourmentée
Cherchant volupté à la lueur de l’aube cachée
Dans l’immensité profonde de son ombre née
Aurore
Le bruit de la brume
Quand la rage imprègne son être
Les cris de son désespoir raisonnent
Cette chanson si forte de son émoi
Que nul ne peut l’éteindre sans effroi
Viens alors en lui ce cri de douleur
Qu’il puise dans son cœur à paraitre
Ne craignant ni le froid ni la peur
Alors il ouvre grand sa fenêtre
Et voit un soleil qui rayonne
Douce chaleur d’un été parfumé qui fuit
Tendres caresses d’un air oublié de la nuit
Il égraine les feuilles parchemin de sa vie
Jaune et ocre deviennent couleur du feu
D’un refrain aimé le rendant heureux
De ses doigts naissant les notes de l’infini
Mots cachés de ses maux troublés dans son silence
Comme des vagues folles projetées il balance
Dans le bleu d’azur de l’océan le zeste qu’il regarde
D’une falaise produisant son vertige d’avant garde
Que l’horizon fuyant guidant ses pas fragiles
D’un passé heureux rendu par une mer tant hostile
Il glisse son cœur de l’amour ardent qu’il l’enfume
Parmi l’ombre imperceptible et diffuse de la brume
Alors il ouvre grand sa fenêtre
Et voit le soleil qui rayonne.
Aurore - 2009