Terre d’Afrique, sol des souffrances
Ecoute la voix de notre enfance
La soif, la faim sont notre malheur
Quand viendra notre bonheur ?
Chante le bonheur des anges
Paroles angéliques de l’archange
ARTISTE PEINTRE -POÉTESSE- Marsac en Livradois
Terre d’Afrique, sol des souffrances
Ecoute la voix de notre enfance
La soif, la faim sont notre malheur
Quand viendra notre bonheur ?
Chante le bonheur des anges
SERIGNE l'enfant Malien
Accroché aux portes dorées de l'espoir
Dans son pays de tant de désespoir
Sérigne digne enfant des sages
Scrutant de son regard perçant
Les allées venues des riches gens
Au soleil couchant, il chante
L'histoire du Mali de mille âges
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Je suis…
Je suis dans cette étendue d’eau
Je suis la couleur du jet d’eau
Je suis sur l’écume de ta vague
Je suis une image qui te tague
Je suis la silhouette de ton ombre
Je suis cette feuille qui tombe
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STEVIE le ROI DU BLUES
Pourquoi dans l’espace du temps je te cherche ?
Les étoiles du trou noir disparaissent doucement
A mes yeux qui se ferment, elles tendent une perche
Soufflé infime d’espoir dans l’obscurité blanche
De nos nuits en folies, elles dansent et se déhanchent
Dans ce firmament né de la mansuétude de l’artiste
Qui pleure son âme , l’amour de ne plus être triste
Des cordes d'argent adorées du haut firmament
Sais-tu, oh sais-tu, combien je t’aime ?
Sans toi je suis perdu
Dans mon cœur éperdu
L’ instant de ton ombre écarlate sème
Le reflet de ta mémoire éloignée du temps
Jadis de tes rires et de tes chansons égayés
Parcourant les scènes et les théâtres émerveillés
Applaudissant ton spectacle en chantant
Tes doigts aux couleurs d’une banquise
Tes notes immaculées d'un amour universel
Sortant de ton émotion si pure si exquise
Qu'elles déversent ta musique éternelle
Sais-tu, oh sais-tu, combien je t’aime ?
Sans toi je suis perdu
Dans mon cœur éperdu
L’ instant de ton ombre écarlate sème
Aurore
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AURORE
O toi, ma vie, quelle courant t’emporte ?
Toi, mon cœur, qu’elle est ta porte ?
Toi, ma pensée vive qui se consume
Dans le jour gris d’une brume.
Que crains tu qu’il advienne
Si la bise est encore tienne ?
Que les fleurs colorées sans odeurs
Parsèment les chemins de la peur ?
Quel est donc ce noir dessein
Suspendu à mon destin ?
Qui me piétine chaque matin
Trébuchant au bord d’un ravin.
Douleur écarlate d’un espoir
Sans lendemain à croire
O puissance éternelle du temps
J’incline devant toi mes résistances
Offrande de toute ma persistance
Que surgisse à nouveau
Dans ma cour le printemps
S’abreuvant de tes eaux
N’est-il d’autres épines, d’autres dards
Pour briser le peu de forces restantes
Seul fil d’argent qui me hante ?
N’aurais-je pas assez souffert ?
N’aurais-je pas assez offert
D’amour, d’honneur, d’arts
Pour que ta froideur me scrute encor ?
O grandeur majestueuse des ténèbres,
Ombre de mes puérils éphémères
Accrochée à la sève de ton arbre,
Lame fine d’entre tous les sabres,
Abandonneras tu le son de tes cors?
AURORE
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L’absolu au travers de son miroir Dans cet univers incommensurable Baromètres spirituels interminables
Au dessus de lui, trouve un ciel de l’infinité De ses impressions dans cette immensité
Celui qui dans son sommeil, rêve éveillé D’une journée, des saisons ou d’un été De ses délicieuses minutes dispersées D’une exquise tempérance éclatée
Au dessous de lui, trouve un point infini De ses suprêmes pensées endormies S’envolant libre vers d’autres galaxies Dans ce songe de ces paupières scellées S’émerveille de cette béatitude dernière Telle une ultime récompense d’une prière
Au-dedans de cette constellation spiralée De ses tourbillons soporifiques enflammés S’assoupissent ses émotions glorifiées
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Cette grandeur livrée à nos yeux |